Le petit dernier, le 7 km, 7 comme le département de l'Ardèche. Parcours idéal pour qui veut s'initier à une première course en pleine nature sans souffrir (enfin presque). Le début sera le plus
dur, un coup d'oeil sur la vue panoramique de Rochelipe, puis le sentier pour monter aux 3 croix inaugurés l'année dernière pour les grands parcours. Un vrai dépaysement à quelques hectomètres du
village. Puis du roulant en alternant montées et descentes, mais jamais trop dur, avant la plongée sur Lalouvesc, et bien sûr la dernière côte pour atteindre la ligne d'arrivée. Une vrai
formalité !!!
De l'inédit dès le départ avec le super sentier du Bruchon pour s'éloigner du village. C'est étroit, ça va jouer des coudes pour se placer. Puis la descente assez roulante vers le Bois
Noir, un peu plus raide et ludique sur la fin. La première bosse, ça surprend visuellement, mais ça passe crème. Au carrefour des 4 chemins, on plonge à gauche en sens inverse de l'année dernière
depuis le Col du Marchand. Vous l'avez vu de nuit, vous y aurez droit de jour et de l'autre face cette année. Du col, vous basculerez sur la vallée de la Daronne, encore inconnue du trail des
sapins. Le sentier pour descendre sur Pailharès, d'où la rivière prend sa source, est des plus agréables. Pour le coup, nous pourrions presque croire que c'est facile le trail. Il serait indécent
de ne pas fouler les ruelles secrètes de ce village perché au charme certain. Une petite visite patrimoniale, une barre de céréales au ravito à ne pas confondre avec le resto juste au dessus ;) .
De là, ben faut remonter les gars. Bien que sur la route en première partie, c'est raide et pas roulant pour autant. Au hameau des Bauds (oui oui, c'est le bout du monde là bas, mais les gens y
sont sympas) c'est un joli sentier qui mènera à la cabane des chasseurs (ils sont prévenus, normalement ils auront fini). Vous serez ici presque sauvés de la côte, du moins pour celle ci. Les
plus chanceux auront peut être droit au coucher du soleil du sommet du Sardier. Une rapide descente sur le Col du Faux où vous récupérerez le 12 km. Poursuite de la descente en direction du Faux
où se tiendra le deuxième ravitaillement dans une belle grange. La descente se poursuit sur la piste du Chifflet, mais pas longtemps, pour revenir à proximité du col. Un champ à traverser, puis
la montée finale vers le Mont Besset. Souvenez vous, en descente, l'année dernière, c'était hardu, mais c'est pas mieux à la montée. On entend les cloches de la basilique, mais un dernier détour
pour que du bonheur. Des sentiers moussus et herbeux pour finir par du velours. Ahhhh, j'allais oublié, la montée finale vers le camping, mais vous la connaissez par coeur celle là.
De l'inédit dès le départ avec le super sentier du Bruchon pour s'éloigner du village. C'est étroit, ça va jouer des coudes pour se
placer. Puis la descente assez roulante vers le Bois Noir, un peu plus raide et ludique sur la fin. La première bosse, ça surprend visuellement, mais ça passe crème. Au carrefour des 4 chemins,
on plonge à gauche en sens inverse de l'année dernière depuis le Col du Marchand. Vous l'avez vu de nuit, vous y aurez droit de jour et de l'autre face cette année. Du col, vous aurez une
descente assez roulante vers le charmant village de Vaudevant que vous visiterez par ses ruelles. S'en suit un enchaînement de sentiers très variés, avec des descentes et des montées. Il faudra
du rythme pour enchaîner. Un coup d'oeil panoramique sur le village de St Félicien que vous surplomberez pour trouver le premier ravitaillement dans le site d'exception du château de Rosières.
Une dernière descente pour aller traverser la Daronne avant la longue et usante montée vers le col de Fontfreyde où vous aurez un ravito léger. Puis la traversée dépaysante du plateau de la Chaux
avec ses airs de Gévaudan (la bête ne sera peut être pas loin !!!) Les plus chanceux y auront peut être droit au coucher du soleil. Vous franchirez le col du Buisson, à la descente, pour plongez
sur le village perchée de Pailharès que vous aurez en point de mire, lieu du troisième ravito. De là, ben faut remonter les gars. Bien que sur la route en première partie, c'est raide et pas
roulant pour autant. Au hameau des Bauds (oui oui, c'est le bout du monde là bas, mais les gens y sont sympas) c'est un joli sentier qui mènera à la cabane des chasseurs (ils sont prévenus,
normalement ils auront fini). Vous serez ici presque sauvés de la côte, du moins pour celle ci. Une rapide descente sur le Col du Faux (décidément, les cols sont à la descente ici) où vous
récupérerez le 12 km. Poursuite de la descente en direction du Faux où se tiendra le dernier ravitaillement dans une belle grange. La descente se poursuit sur la piste du Chifflet, mais pas
longtemps, pour revenir à proximité du col. Un champ à traverser, puis la montée finale vers le Mont Besset. Souvenez vous, en descente, l'année dernière, c'était hardu, mais c'est pas mieux à la
montée. On entend les cloches de la basilique, mais un dernier détour pour que du bonheur. Des sentiers moussus et herbeux pour finir par du velours. Ahhhh, j'allais oublié, la montée finale vers
le camping, mais vous la connaissez par coeur celle là.
Alors, convaincus ?